Le Gué de la Chaux - Marie Madeleine

Départ : Au monument, se diriger en direction du carrefour de la Loge des Gardes. Monter légèrement à droite sur une large piste forestière. Continuer tout droit sur la piste principale. Passer devant une croix en béton en serrant à droite pour atteindre un large carrefour.

1- Garder le cap au nord et continuer de monter (passage devant une 2ème croix). Après un replat, le sentier perd de l’altitude.
2 - Bifurquer à gauche dans un petit sentier au milieu des bois en laissant la large piste. Descendre fortement pour atteindre la Grande Borne.
3 - Au carrefour routier prendre le deuxième chemin à droite. Suivre la large piste forestière puis descendre à gauche un petit sentier qui plonge jusqu’à la prairie et le ruisseau des Crèches. Traverser le ruisseau et continuer jusqu’au carrefour du Plan du Grand Jonc.
4 - Tourner à droite en direction du Gué de la Chaux. Garder la même direction sur près de 700 m.
5 - Au niveau d’un pré, virer en épingle à droite sur le plat. Au carrefour, monter à droite. Garder le chemin jusqu’à déboucher sur une large piste forestière.
6 - Virer à droite sur la piste puis rapidement à gauche dans un sentier qui s’élève. Après un passage humide, continuer à monter. Retrouver une large piste.
7- Au carrefour, virer à droite et retrouver la D51. Longer la route en direction du barrage du Gué de la Chaux pour retrouver le parking et votre point de départ.


Un peu d'histoire..
Le plateau qui accueillait le pèlerinage de la Madeleine a donné son nom aux Monts. Les ruines de la chapelle de Marie Madeleine sont dans une clairière à une vingtaine de mètres au nord de la première croix.

A savoir..
En ce lieu, le 22 juillet 1944, jour de la sainte Madeleine, SS et miliciens par le Mépart alors déboisé, montent à l’assaut de la Madeleine où se tiennent les résistants du camp Barriquand. Le sacrifice des sentinelles va permettre aux Maquisards de décrocher à travers bois. Des croix marquent le lieu de leur poste de gloire. Leroy et Bérard, Forge (16 ans) et Lau, Quatrepoint. Le 24 juillet, Genevrier est tué en voulant rejoindre le camp où tout est incendié. Il y eut d’autres victimes : Dépalle et son fils morts en déportation, le capitaine Bardet qu’ils cachaient dans leur ferme, fusillé, Dégoulange, décédé en 1947 des suites des tortures subies…

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